dimanche, 22 avril 2007

GBAGBO, ANOUMA, DROGBA : QUAND LA CÔTE D'IVOIRE GAGNE (1)




Avec l’arrivée de Laurent Gbagbo au pouvoir en tant que chef d’Etat et Président de la République de Côte d’Ivoire, ce pays n’a cessé de glaner des victoires un peu partout à travers le monde et spécialement en Afrique
Sans toutefois vouloir faire de la démagogie, il est reconnu de notoriété publique que le Président de la République mène le bâteau ivoire à la victoire grâce à une sélection rigoureuse dans le choix de ses collaborateurs directs. Collaborateurs dotés de connaissances approfondies et ayant un caractère résistant à toutes épreuves, comme lui-même, du temps où il était chef de parti dans l’opposition. Des collaborateurs qui prennent des initiatives dans les missions qu’il leur confie et dont les résultats doivent se répercuter sur le peuple ivoirien. Collaborateurs à qui il a demandé de remettre le pays à la place qu’il occupait avant la mort de son premier Président, et surtout avant les calamités de 1995 à 1999, en passant par les affres du coup d’Etat de 1999 et de la transition militaire. Ils doivent pour cela s’appuyer sur son programme de gouvernement. "Côte d’Ivoire is back" dixit le Président de la République. Parmi ces derniers, se trouve un homme, un collaborateur efficace qui sait, comme son patron de Président, ce qu’il faut faire, comment le faire, où aller et jusqu’où aller dans l’intérêt du pays et surtout apporter la joie dans les cœurs meurtris du peuple ivoirien. C’est l’Ambassadeur Jacques Bernard Daniel Anouma , président de la Fédération ivoirienne de Football (FIF) devenu, depuis son accession à la tête de l’instance fédérale du football ivoirien, l’un des éléments catalyseurs de la nouvelle Côte d’Ivoire qui gagne. La Côte d’Ivoire de la jeunesse qui représente l’avenir et qui véhicule l’image de ce pays doit être présente partout où il se doit. Dans le programme de gouvernement du Président Laurent Gbagbo, une place de choix est réservée, en effet, à cette jeunesse et au sport. Une jeunesse qui a perdu ses repères, une jeunesse que le Président voudrait voir travailler, créer et surtout avoir une vie saine. Jeunesse à qui il voudrait aussi inculquer sa rage de vaincre. Il estime q’une nation qui ne sait quoi faire, ni avec sa jeunesse, ni pour sa jeunesse, court à sa perte. "Un pays qui laisse ses jeunes au bord du chemin, prépare la guerre". Le sort d’un pays dépend du sort qu’il réserve à sa jeunesse. Cette jeunesse se retrouve aujourd’hui dans les ’’ jeunes patriotes ’’ pour la défense de la République avec comme idoles les Blé Goudé et autres leaders des mouvements de jeunes ou dans ceux qui s’adonnent aux sports de compétition, en l’occurrence les Eléphants footballeurs, dont le chef de file est Drogba Tébily Didier, l’idole de tout un peuple. La complémentarité de la FIF et des Eléphants footballeurs a permis à la Côte d’Ivoire d’être présente et à l’honneur, depuis 2002, dans l’élite africaine du football et d’y glaner de nombreuses victoires malgré la crise qui perdure. Jacques Anouma et sa Fédération à travers les Eléphants et les clubs engagés dans les compétitions africaines ont compris le bien-fondé du message du Président Laurent Gbagbo qui est de toujours porter haut le nom de la Côte d’Ivoire dans le concert des nations. Victoire pour la Côte d’Ivoire lorsqu’au soir du 8 octobre 2005 à Khartoum, au Soudan, l’équipe nationale senior ivoirienne de football, après quatre-vingt-dix minutes de jeux et de suspense, obtient le gain du match face à son homologue soudanais. Les clameurs, les cris et les pleurs de joie se firent entendre depuis le Soudan jusque dans les contrées les plus reculées d’Afrique et du monde entier. La Côte d’Ivoire, pour la première fois de son histoire, venait d’obtenir sa qualification pour la participation à la phase finale du mondial 2006 devant se dérouler en Allemagne. Cet exploit est non seulement l’œuvre des joueurs sur le terrain, mais aussi et surtout l’œuvre d’un homme, avec son équipe de responsables fédéraux, qui a su imprégner l’esprit de persévérance et de gagneur à un groupe : Jacques Anouma Bernard Daniel. Bravo président. Les résultats obtenus par ce dernier depuis 2002, malgré la guerre, parlent d’eux-mêmes :
Une place de finaliste à la CAN 2006 en Egypte et participation à la phase finale de la coupe du monde 2006 en Allemagne
Une participation aux phases finales des coupes du monde des juniors et des cadets en 2003
Une entrée au comité exécutif de la FIFA.
Elu président de l’UFOA
La bonne gestion administrative et financière de la FIF. L’histoire retiendra que Jacques Anouma à été le premier président de la FIF a avoir qualifié la Côte d’Ivoire pour sa première participation à la phase finale d’une coupe du monde de football. (A suivre)

Zagol Jean jzagol@yahoo.fr

Aucun commentaire: